...entre la main et l´outil commence une amitié qui n´aura pas du fin. L´une comunique á l´autre sa chaleur vivante et le façonne perpétuellement. Neuf, l´outil n´est pas "fait". Il faut que s´établisse entre lui et les doigts qui le tiennent cet accord né d´une possessión progressive, de gestes légers et combinés. D´habitudes mutuelles et meme d´une certaine usure. Alors l´instrument inerte devient quelque chose qui vit. Nulle matière ne s´y prete mieux que le bois. Qui vécut jadis dans la foret. Et qui, mutilé, façonné pour se preter aux arts de l´homme, conserve sous une autre forme sa souplesse et sa flexibilité primitives / Henri Focillon (1934): Éloge de la main
hoy suena en mi habitación: don´t know why I didn´t come / norah jones
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